Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'après, l'ici et maintenant
25 octobre 2012

Banalité du mal, banalité du bien

          

 

                        Un si fragile vernis d'humanité

                       Banalité du mal, banalité du bien

 

                                           

                                                                   Michel Terestchenko

 

  

 
                                      
 
 
 

Résumé

L'essai montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de l'hypothèse d'un altruisme sacrificiel. Propose de penser les conduites humaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l'absence ou de la présence de soi.

 


Quatrième de couverture

On a pu espérer, un temps, que les monstruosités de la Seconde Guerre mondiale étaient derrière nous. Définitivement. Or partout, à nouveau, on massacre, on torture, on extermine. Comment comprendre cette facilité des hommes à entrer dans le mal ? Michel Terestchenko rouvre ici le débat, en complétant notamment la démonstration de Hannah Arendt. Héros ou salaud ? C'est toujours une décision initiale, à peine perceptible, qui décide du côté dans lequel, une fois engagé, on se retrouvera in fine. Mais qu'est-ce qui explique cette décision ? C'est là où l'enquête de M. Terestchenko prend toute son ampleur. Elle montre combien est stérile l'opposition entre tenants de la thèse de l'égoïsme psychologique et défenseurs de l'hypothèse d'un altruisme sacrificiel. Ce n'est pas par «intérêt» que l'on tue ou que l'on torture. Ni par pur altruisme qu'on se refuse à l'abjection. Les travaux qui analysent les phénomènes de soumission à l'autorité, de conformisme de groupe ou de passivité face à des situations de détresse invitent à comprendre tout autrement les conduites de destructivité. Tirant les conclusions philosophiques de recherches récentes entreprises en psychologie sociale et s'appuyant sur certains exemples historiques particulièrement éclairants, l'auteur propose de penser les conduites humaines face au mal selon un nouveau paradigme : celui de l'absence ou de la présence à soi.

 

 

                                 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
L'après, l'ici et maintenant
  • Ce blog s'adresse à ceux qui s'interrogent sur l'après, la mort, le grand départ. Je fais partie de ceux qui sont morts et sont revenus. Depuis cette expérience, mon appréhension du monde, de l'univers de la réalité est bouleversé.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Publicité