Les confessions de Carla Bruni à Vanity Fair
Carla Bruni
Ses confessions à Vanity Fair
Problèmes de poids, de cœur, critiques des journalistes... L'ancienne première dame s'en est ouverte au magazine américain, abordant aussi l'éventuelle candidature de Nicolas Sarkozy aux présidentielles de 2017.
Par Marie Turcan
Ils disaient: “Elle est grosse”. Ils peuvent être très méchants. Rien ne leur est interdit.» Carla Bruni explique à Vanity Fair la manière dont les journalistes ont parlé de son poids après la naissance de sa fille Giulia. En pleine promotion pour son nouvel album Little French Songs , l'ancienne première dame s'est confiée au magazine américain, moins pour parler de son nouveau disque que de sa vie et de ses envies.
Le titre de l'interview, «Carla on a hot tin roof», est un jeu de mot avec l'expression «Like a cat on a hot tin roof», qui signifie «être nerveux, agité, ne pas tenir en place». Et la chanteuse semble en effet avoir quelques comptes à régler.
Elle commence par son poids: «Je suis plutôt grande, avec des épaules larges, et quand j'ai 20 kilos en trop je n'ai même pas l'air grosse, j'ai juste l'air moche. Avoir des enfants, quand on est plus âgée, ce n'est pas évident.»
Elle n'hésite pas non plus à montrer une photo de sa fille Giulia, et lâche, attendrie: «C'est tellement une Sarkozy (...) Nicolas a trouvé son maître. Je crois qu'avec notre âge, et le fait que c'est une fille, nous fondons littéralement tous les deux pour elle, vous savez?»
Mais elle passe rapidement à sa conception du pouvoir, et combien elle s'indigne que l'on ait pu dire qu'elle aurait quitté Nicolas Sarkozy s'il n'avait pas été réélu. Pour elle, c'est même l'inverse: «le pouvoir était un des problèmes auxquels nous devions faire face. Le pouvoir, ce n'est pas un plaisir. Ça vous rend vulnérable». Elle précise également qu'elle n'a «jamais utilisé le pouvoir [qu'elle était] supposée avoir», sauf pour «aider les gens, quand ils demandent de l'aide, comme les gens qui sont à l'hôpital ou dans des situations difficiles.»
Ils disaient: “Elle est grosse”. Ils peuvent être très méchants. Rien ne leur est interdit.» Carla Bruni explique à Vanity Fair la manière dont les journalistes ont parlé de son poids après la naissance de sa fille Giulia. En pleine promotion pour son nouvel album Little French Songs , l'ancienne première dame s'est confiée au magazine américain, moins pour parler de son nouveau disque que de sa vie et de ses envies.
Le titre de l'interview, «Carla on a hot tin roof», est un jeu de mot avec l'expression «Like a cat on a hot tin roof», qui signifie «être nerveux, agité, ne pas tenir en place». Et la chanteuse semble en effet avoir quelques comptes à régler.
Elle commence par son poids: «Je suis plutôt grande, avec des épaules larges, et quand j'ai 20 kilos en trop je n'ai même pas l'air grosse, j'ai juste l'air moche. Avoir des enfants, quand on est plus âgée, ce n'est pas évident.»
Elle n'hésite pas non plus à montrer une photo de sa fille Giulia, et lâche, attendrie: «C'est tellement une Sarkozy (...) Nicolas a trouvé son maître. Je crois qu'avec notre âge, et le fait que c'est une fille, nous fondons littéralement tous les deux pour elle, vous savez?»
Mais elle passe rapidement à sa conception du pouvoir, et combien elle s'indigne que l'on ait pu dire qu'elle aurait quitté Nicolas Sarkozy s'il n'avait pas été réélu. Pour elle, c'est même l'inverse: «le pouvoir était un des problèmes auxquels nous devions faire face. Le pouvoir, ce n'est pas un plaisir. Ça vous rend vulnérable». Elle précise également qu'elle n'a «jamais utilisé le pouvoir [qu'elle était] supposée avoir», sauf pour «aider les gens, quand ils demandent de l'aide, comme les gens qui sont à l'hôpital ou dans des situations difficiles.»
Source : Le Figaro.fr